
oiseaux aquatiques

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Ancêtre de la plupart des souches de canard domestiqués et auto-domestiqué, le Mallard sauvage suscite généralement peu d’intérêt mais n’en demeure pas moins un canard fin et élégant. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Mallard ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Avant l'éclaboussure, parade nuptiale du garrot à œil d'or. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Le garrot à œil d’or est l’une des 6 espèces de canards arboricoles du Québec. La nidification de ceux-ci requiert la présence de chicots ou d’arbres suffisamment matures et de bonnes dimensions, car ces canards y trouvent les cavités nécessaires à la ponte. Une étude de caractérisation de l’habitat de reproduction des canards arboricoles, datant de 2002, démontrait qu’en moyenne 300m séparait le site de ponte du plan d’eau le plus proche. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Les très territoriaux Garrots à œil d’or sont particulièrement expressifs et vocaux lors de la période des amours. Notamment, les mâles fouettent l’eau brusquement vers l’arrière et se lancent la tête dans la même direction tout en poussant un cri ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Quoique que relativement commun chez certaines espèces de canards, le parasitisme de couvée est pratique courante chez le fuligule à tête rouge. Les femelles parasiteront le nid de leurs congénères ou celui d’autres espèces de canard nichant au sol. Certaines femelles seront complètement parasitiques et n’incuberont jamais leurs propres œufs. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC. Canada Le mâle branchu est l'un de des rares canard nord américain à posséder un iris rouge. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC, CA Canard forestier, le branchu favorise les plans d’eau entourés de forêts mixtes et décidues. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC, CA Tout comme la sarcelle cannelle (ouest du pays) et le canard souchet mâle, la sarcelle à ailes bleues à la sus-alaire bleue et le spéculum (miroir) vert brillant. Le croissant blanc souligné de noir sous l'œil est quant à lui unique à ce dernier. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Le qualificatif ''d’éclabousseur'' a souvent été accolé au Foulque d’Amérique. Il utilise différentes techniques d’éclaboussures pour effrayer ou distraire de potentiels prédateurs et avertir ses semblables. Une d'entre elles est de se percher sur le rebord de son nid ou sur une surface submergée et de taper l’eau bruyamment avec ses grandes pattes palmées, ceci pour défier les autres mâles tout en indiquant sa présence à de potentielles partenaires. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Afin de se propulser hors de l'eau et prendre son envol, le Foulque d'Amérique battra des ailes intensément et courra sur l'eau en utilisant ses grandes pattes palmées. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Quoique relativement commune au centre et à l’ouest du Canada, la nidification du Grèbe Jougris a été observé au Québec uniquement dans les limites de la ville de Rouyn-Noranda. Cet oiseau préfèrerait les étendues d’eau peu profonde souvent eutrophes pour se reproduire et y construire son nid qui, est une masse flottante formé de matériel végétal ancré à la végétation émergente. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Discret durant la saison hivernale, le grèbe jougris est plutôt tapageur sur ses territoires de nidification. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC, CA Quatuor de Grèbes esclavon s'enfonçant dans l'opaque brume d'un petit matin automnal. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Le terme «Hell diver» ( plongeur de l’enfer) as été attribué au Grèbe à Bec Bigarré par les vieux artilleurs. Ce surnom faisait référence à sa capacité de réagir au flash d’un fusil de chasse en se submergeant rapidement sous l’eau sans faire de vagues et en réapparaissant quelques centaines de pieds plus loin. ©André Bhérer

NORD-DU-QUÉBEC, QC.CA Grand chevalier veillant sur sa boréalie. ©André Bhérer

NORD-DU- QUEBEC, QC. CA Dans une tourbière au cœur de la boréalie un cri retentissant se fait entendre, devenant incessant ce piaillement approche rapidement. Vous avez été repérer par le gardien des lieux, le Grand Chevalier, véritable système d’alarme de cette vaste contrée. ©André Bhérer

VAL-D'OR, QC, CA Ayant fait face à l'extinction au début du vingtième siècle, le Cygne Trompette refait tranquillement son apparition au sud du Canada grâce à des programme de réintroductions. Il est le plus gros représentant de la famille des Anatidés. ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC. CA La parade nuptiale de l’Érismature Rousse consiste principalement à frapper son bec contre son poitrail à une vitesse remarquablement rapide. Ceci invitera l’air à s’échapper de son plumage et créera des remous de bulles à la surface de l’eau. ©André Bhérer

ABITIBI-TEMISCAMINGUE, QC. Canada La nidification de l'Érismature Rousse est sporadique dans quelques régions du Québec dont l’Abitibi-Témiscamingue où il y a mentions d’individus durant la saison estivale à peu près tous les ans. All Rights Reserved ©André Bhérer

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE, QC.CA Le petit garrot est notre plus petit canard plongeur. Nicheur arboricole, il bénéficiera de son petit gabarit pour utiliser des cavités de dimension inférieures à celles nécessaires aux autres canards aux mêmes mœurs. Au Québec, son territoire de nidification semble plus concentré au Nord- Ouest, c’est lors des migrations printanières et automnales qu’on pour pourra observer ce canard dans l’ensemble du sud de la province. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC. CA Bien dissimulé dans la dense végétation du marais, ce Butor d'Amérique à trahi sa présence par son chant unique. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC.CA Sous le couvert de l’érablière argenté, un Bihoreau gris immobile est aux aguets du moindre mouvement dans le marais . Au Québec, ce héron est plus souvent observé le long du Fleuve St-Laurent et de la portion sud de la rivière des Outaouais. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC. Canada Grand Héron faisant sa toilette. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC. CA Plongeon huard sur son nid contrastant avec son environnement. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC.CA Malgré l’hiver qui parfois s’accroche, l’arrivée des bernaches du Canada est signe de températures plus clémentes. ©André Bhérer

OUTAOUAIS, QC.CA Formation de Bernaches du Canada signalant un changement de saison. ©André Bhérer